[CONTEXTE] Le fracas des machines et les soupires harmonieux des ouvriers avaient remplacé le bruit sourd des obus et des balles tirées. Ce n'est plus le sang qui s'écoule, mais la sueur de leurs fronts. Ces perles salées qui ruissèlent sur la peau, sur les stigmates d'un mental oublié dans les tranchées, comme les corps sans vies des camarades, des amis, des frères. La guerre est terminée. Il y a les soldats épuisés qui retrouvent le confort de leurs foyers, et les veuves déplorées qui sombrent dans l'absence. Certains reconquissent la douce chaleur de leurs épouses et les rires de leurs enfants, quand d'autres ne reviennent que plus affligés encore, le coeur balafré et les mains ensanglantées. L'Angleterre est démembrée, ruinée. Les hommes voient leurs salaires divisés et Londres s'échouer. L'East End en dépeint admirablement l'échec. On travaille davantage pour ne rien gagner. On se tue à retrouver l'humanité. Les journaux sont noircis de faits divers, de meurtres, de vols, de courses truquées. Il y a ces criminels plus acharnés que la peste à la faire s'effondrer, à s'approprier la plus petite parcelle de misère, tandis qu'une obscurité non pas moins assoiffée se nourrissait des âmes désespérées. Des rumeurs d'une puissance exotique dont l'homme avare cherche à tirer profit au détriment d'une paix d'ores et déjà bancale.
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